10 habitudes pour éloigner le cancer et les maladies en général
Publié dans Santé
Le cancer n’est pas une fatalité, de simples habitudes de vie permettent de réduire le risque d’être atteint par ce genre de maladie :
- Réduire significativement la consommation d’aliments et boissons qui n’existaient pas autrefois : sucre, farines et céréales raffinées ; plats industriels, sodas, etc. Consommer le maximum d’aliments frais et non transformés.
- Réduire la consommation d’huiles de maïs et tournesol (riches en oméga 6) au profit des huiles d’olive, de colza et surtout de lin, cette dernière contient environ 50% d’oméga 3 !
- Choisir des viandes et poissons élevés dans des conditions de vie normales. Les poissons tels que sardines, harengs et maquereaux sont excellents grâce à leur haute teneur en oméga 3 (EPA et DHA) et sont parmi les moins chers.
- Éviter les barbecues et fritures en cuisinant à la vapeur sans pression. Favoriser les crudités (fruits frais, salades…) qui sont les seuls aliments à apporter des enzymes (détruites par la cuisson) qui, ainsi, allègent le travail de digestion du pancréas.
- Boire ou cuisiner (soupes, riz…) avec une eau très pure et non chlorée car le chlore détruit la flore intestinale (voir l’eau est un aliment).
- Boire chaque jour plusieurs tasses d’anti-oxydants : thé vert ou blanc.
- Rendre possible la sécrétion de vitamine D par une exposition régulière au soleil (au moins une heure par jour). Si c’est impossible, notamment en hiver, en prendre en complément alimentaire.
- Faire de l’exercice physique régulier car les sportifs meurent nettement moins de maladies cardiaques et de cancers que le reste de la population : respectivement moins 27% et moins 40 %.
- Jardiner, même sur un balcon !, renforce le lien à la nature, donne de l’intérêt à la vie et déstress.
- Enfin, un dernier point important doit être détaillé. Notre intestin est l’équivalent des racines d’un arbre : les processus de vie de tout notre corps y puisent leur nourriture, il est donc primordial d’assurer le bon fonctionnement de cet organe.
Une flore intestinale (bactéries bénéfiques appelées probiotiques) équilibrée est indispensable. Elle permet l’absorption des minéraux, sécrète des vitamines et de l’acide butyrique qui nourrit les cellules de la paroi du côlon. Ainsi, cet organe est capable d’empêcher les toxines de passer dans le sang et de créer tous types d’inflammations ou d’allergies.
Pour vivre et se développer, ces bactéries ont besoin de se nourrir avec des prébiotiques (fibres végétales solubles) qu’elles trouvent dans les pectines des fruits et légumes (souvent dans leur peau) : jus de poire – un des plus riches – pommes, bananes, endives, etc. Pour préserver leur état et ne pas être transformés en sucre, ces végétaux doivent être cuits à des températures pas trop élevées ou consommés crus. A l’inverse, il faudra réduire les aliments favorisant la prolifération des mauvaises souches de bactéries : sucreries, additifs, alcool…
Une fois ces conditions réunies, on peut réensemencer l’écosystème intestinal avec des probiotiques, ou avec une association prébiotiques + probiotiques, qui auront pour résultat une digestion améliorée, une meilleur assimilation et une protection contre nombre de maladies.
Cette liste ne prétend pas être exhaustive mais elle donne les conditions et principes pour le bon fonctionnement du corps.