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Influence du magnétisme sur la vie – Vertus #7

Publié dans Thérapie magnétique

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La magnétothérapie n’est pas du charlatanisme, mais une science. C’est par la publication d’informations de qualité que nous vous proposons de découvrir les divers aspects de la magnétothérapie. Cette série est tirée du livre Les Vertus du magnétisme : seul et unique ouvrage s’appuyant sur des références vérifiées et vérifiables car répertoriées en fin d’ouvrage.

AVERTISSEMENT POLARITÉ

Influence du magnétisme sur la vie

Usages antiques du magnétisme

Dès la plus haute antiquité et chez tous les peuples, l’aimant a été employé dans le traitement des maladies les plus diverses

la Grande Encyclopédie

La trace de l’usage le plus ancien est en Afrique où une mine de magnétite ancienne de plus de cent mille ans a été retrouvée. Il semble que la magnétite y était moulue pour en faire des potions et des applications locales… En Occident, Aristote (IVe siècle avant J-C) est peut-être le premier à avoir laissé un écrit sur cet usage.

Tous les organismes vivant sur la Terre sont soumis aux effluves magnétiques terrestres et cosmiques. Certaines espèces les perçoivent même consciemment pour s’orienter ; ainsi les oiseaux migrateurs franchissent des milliers de kilomètres puis reviennent dans leur exacte région d’origine. L’homme primitif a dû, à notre avis, bénéficier d’un sens réellement réceptif au magnétisme.

Cette hypothèse expliquerait l’implantation de menhirs en des endroits que le magnétomètre moderne révèle être des endroits magnétiquement inhabituels. En outre, l’utilisation majoritaire de granite, parfois transporté sur des centaines de kilomètres pour ériger des menhirs, accentue étonnamment cette particularité locale car cette roche est légèrement magnétique (paramagnétique). L’homme néolithique percevait-il quelque chose en ces lieux particuliers ?

Le célèbre cas de Gaspar Hauser, un enfant retrouvé à l’état sauvage au XIXe siècle, peut le laisser supposer. En effet il était, paraît-il, non seulement sensible à un aimant approché de lui mais, en outre, ses réactions variaient selon qu’il s’agissait du pôle Sud ou du pôle Nord.

Par ailleurs, beaucoup des légendes mégalithiques parvenues jusqu’à nous racontent que les menhirs étaient destinés à guérir des maladies ; il n’est qu’à consulter le folklore celte pour le constater, ou encore l’historien du XII siècle Geoffrey de Monmouth : “… dans ces pierres il y a un mystère et… des vertus pour l’art de la guérison.”

Le fait que la magnétothérapie, c’est-à-dire l’usage curatif des aimants, soit connue depuis l’antiquité la plus reculée est plausible puisque les archéologues ont retrouvé la trace d’objets aimantés en Egypte, en Inde, en Mésopotamie et en Amérique du Sud.

À ce propos, toutes les techniques modernes de soins, dites thérapies, devraient s’inspirer de la sagesse antique comme le terme “thérapie” semble y inviter car ce mot vient du grec therapeuin qui signifie “soigner en faisant le travail des dieux” !

Thérapie par l’aimant, du mot grec magnes qui signifie “de Magnésie”. Cette racine ayant donné magner en anglais, qui signifie “aimant”. Quant au français, “aimant” vient du latin adamantetn = acier, devenu adamant puis aemant au XII siècle. Suivant d’autres sources, le mot aimant serait une des formes du verbe aimer, à cause de son amour pour le fer. Les Chinois l’appellent d’ailleurs Tsuchy, ce qui signifie “qui aime”.

II – Influences du magnétisme sur la vie

Ce qui devrait engendrer l’humilité chez l’homme contemporain car la médecine actuelle est très jeune : quelques décennies contre 3 000 ans pour, par exemple, les médecines traditionnelles indienne et chinoise qui, soit dit en passant, prodiguent toutes deux des soins par les aimants.

On a de tous temps attribué au magnétisme des pouvoirs sensationnels. Ainsi Cléopâtre (50 avant J-C), célèbre pour sa grande beauté et son charme, aurait dormi avec un aimant sur le front pour les préserver ; Alexandre de Tralles, médecin grec du VIe siècle, préconisait les aimants pour les douleurs articulaires ; au Moyen Age on extrayait les éclats métalliques des plaies grâce aux aimants et Paracelse soignait avec des aimants ; au XVIIIe siècle Weber les préconisait en ophtalmologie ; enfin Mozart célébra même l’action bienfaisante des aimants dans son opéra Cosi fan tutte.

Toujours au XVIIIe siècle, le célèbre magnétiseur Anton Mesmer disait accroître son magnétisme “animal” en s’asseyant tous les matins sur une chaise garnie d’aimants. De même, il faisait avaler à ses patients une poudre ferrugineuse puis leur posait un aimant sur l’estomac et les jambes. Au XIXe siècle, Eydam publie Application au corps humain d’un champ magnétique à des fins thérapeutiques puis Maggiorani rapporte des effets sur le diabète. A la Pitié et à l’Hôtel-Dieu de Paris, les annales nous disent que l’Allemand Keil entreprit avec succès la cure d’épileptiques, de paralytiques et de rhumatisants. Charcot et le clinicien russe Botkin notèrent l’effet tranquillisant du magnétisme sur le système nerveux.

Au XXe siècle, le pape Pie XI se fit soigner par l’émetteur de champs du chercheur français Georges Lakhovsky. Les importants développements dans ce domaine accélérèrent soudain dans les années 60 avec l’apparition de la conquête de l’espace et de la biologie spatiale”.

Enfin, outre ceux déjà cités, les textes nous ont laissé la trace d’études entreprises sur ce sujet par Hippocrate, Galien, Paracelse, Ambroise Paré, Laënnec et Pasteur.

Dans la série les Vertus du magnétisme :

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